Schelling (Weltalter) – busca pelo início

But even the eternal, as observed already earlier, is itself only the beginning of the beginning. It is not   yet the real beginning. It is like the seed of a plant which, though containing the possibility of beginning the plant, is by no means itself that beginning.

An actual beginning can only come from absolute freedom. In that original unity that conceals everything within it, it is love that pushes toward separation and articulation (Scheidung). But love itself is still only a searching for the beginning, without being able to find it. All of the confusion, all of the chaos   that we feel inwardly whenever we seek to learn something genuinely new, arises out of the search for a beginning that we cannot find. To find the beginning is to find the word (76) that resolves all conflict. This holds also for that condition of self-contradiction and internal conflict into which the first existent is thrown by love. This is why it is said: in the beginning was the word.

Mais même l’Eternel n’est pour soi, comme on l’a déjà remarqué, que le commencement du commencement, et non point encore le commencement effectif. C’est ainsi que le grain est bien la possibilité du commencement de la plante, mais nullement encore le commencement lui-même.

Un commencement effectif ne peut venir que d’une absolue liberté. C’est l’amour qui en cette première unité renfermée pousse à la scission. Mais l’amour lui-même n’est encore qu’une quête du commencement qui ne peut le trouver. Toute cette confusion, tout cet état chaotique où se trouve notre être intérieur chaque fois que commence un nouveau processus   [76] de formation, provient de la quête inassouvie du commencement. Trouver le commencement, c’est trouver le mot, le verbe qui résout tout conflit. Cela vaut aussi pour cet état de contradiction et de conflit avec soi-même où l’amour met l’Existant. C’est pourquoi il est dit : Au commencement était le Verbe.