Heidegger, fenomenologia, hermenêutica, existência

Dasein descerra sua estrutura fundamental, ser-em-o-mundo, como uma clareira do AÍ, EM QUE coisas e outros comparecem, COM QUE são compreendidos, DE QUE são constituidos.

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SZ:12-13 – Existenzialität - existenciaridade

sábado 27 de maio de 2017

Rivera

El Dasein   se comprende siempre a sí mismo desde su existencia, desde una posibilidad de sí mismo: de ser sí mismo o de no serlo. El Dasein, o bien ha escogido por sí mismo estas posibilidades, o bien ha ido a parar en ellas, o bien ha crecido en ellas desde siempre. La existencia es decidida en cada caso tan sólo por el Dasein mismo, sea tomándola entre manos, sea dejándola perderse. La cuestión de la existencia ha de ser resuelta siempre tan sólo por medio del existir mismo. A la comprensión de sí mismo que entonces sirve de guía la llamamos comprensión existentiva [existenzielle]. La cuestión de la existencia es una «incumbencia» óntica del Dasein. Para ello no se requiere la transparencia teorética de la estructura ontológica de la existencia. La pregunta por esta estructura apunta a la exposición analítica de lo constitutivo de la existencia. A la trama de estas estructuras la llamamos existencialidad. Su analítica no tiene el carácter de un comprender existentivo, sino de un comprender existencial [existenziales]. La tarea de una analítica existencial del Dasein ya se encuentra bosquejada en su posibilidad y necesidad en la constitución óntica del Dasein.

Ahora bien, puesto que la existencia determina al Dasein, la analítica ontológica de este ente requiere siempre una visualización de la existencialidad. Y a esta existencialidad la entendemos como la constitución de ser del ente que existe. Pero, ya en la idea   de tal constitución de ser se encuentra la idea del ser en general. Y de este modo, la posibilidad de llevar a cabo la analítica del Dasein depende también de la previa elaboración de la pregunta por el sentido del ser en general. [STRivera:33-34]

Castilho

O Dasein sempre se entende a si mesmo, a partir de sua existência, a saber, a partir de sua possibilidade de ser si mesmo ou de não ser si mesmo. Essas possibilidades o Dasein ou as escolheu ele mesmo ou nelas foi ter ou nelas já cresceu cada vez. A existência é decidida cada vez só pelo próprio Dasein ou no modo de uma apropriação da possibilidade ou de um deixar que ela se perca. A questão da existência só pode ser posta em claro sempre pelo existir ele mesmo. O entendimento que conduz então a si mesmo, nós o denominamos entendimento existencial. A questão da existência é um “assunto” ôntico do Dasein. Para isso, não é preciso que haja a transparência teórica da estrutura ontológica da existência. A pergunta pela estrutura da existência visa à exposição do que constitui a existência [1]. Damos o nome de existenciariedade à conexão dessas estruturas. Sua analítica não tem o caráter de um entendimento existencial, mas existenciário. A tarefa de uma analítica existenciária do Dasein quanto a sua possibilidade e a sua necessidade já está prefigurada na constituição ôntica do Dasein.

Agora, no entanto, na medida em que a existência determina o Dasein, a analítica ontológica desse ente já requer sempre cada vez uma vista prévia da existenciariedade. Mas esta nós a entendemos, porém, como constituição-de-ser do ente que existe. Todavia, na ideia de uma tal constituição-do-ser já reside a ideia de ser em geral. E, assim, a possibilidade de uma execução da analítica do Dasein depende também da prévia elaboração da pergunta pelo sentido de ser em geral. [STCastilho:61]

Auxenfants

C’est toujours en partant de son existence que le Dasein s’auto-comprend, autrement dit à partir d’une possibilité, qui lui est propre, d’être soi-même ou de ne pas être soi-même. Ces possibilités, ou bien le Dasein les a lui-même choisies, ou bien il s’est retrouvé en elles, ou bien, à chaque fois déjà, il a grandi en elles. Qu’il s’agisse de prendre l’existence à-bras-le-corps ou de la laisser échapper, exister est une décision que prend lui-même le Dasein particulier [das jeweilige Dasein]. L’acte d’exister est lui-même toujours le seul moyen qui permet de tirer au clair la question de l’existence. La compréhension de soi-même qui, à cette occasion, sert de guide, nous l’appelons la compréhension existentielle [existenziell  ]. La question de l’existence est une « affaire » ontique du Dasein. Il n’y a point besoin, pour cela, de la limpidité théorique de la structure ontologique de l’existence. La question en quête de ladite structure a pour cible le déploiement [Auseinanderlegung] de ce qui constitued l’existence. L’ensemble cohérent que forment ces structures constitutives, nous l’appelons l’existentialité L’analytique de l’existentialité se caractérise comme étant une Compréhension, non point existentielle, mais existentiale. Quant à sa possibilité et à sa nécessité, la tâche en laquelle consiste une analytique existentiale du Dasein est par avance toute tracée dans la constitution ontique du Dasein.

Or, dans la mesure où l’existence détermine le Dasein, l’analytique ontologique de cet étant nécessite toujours, à chaque fois déjà, [je schon immer] une visée préalable de l’existentialité. Toutefois, nous comprenons celle-ci comme étant la constitution d’être de l’étant qui existe. Or, l’idée d’une telle constitution d’être renferme déjà l’idée de ‘être’ comme tel. De sorte que la possibilité de mener à bien l’analytique du Dasein dépend encore de l’élaboration préalable de la question en quête du sens de ‘être’ comme tel. [ETJA  :§4]

Vezin

Le Dasein s’entend soi-même toujours à partir de son existence, une possibilité de soi-même, possibilité d’être soi-même ou de ne pas l’être. Ces possibilités, ou bien le Dasein les a choisies lui-même, ou bien il y est tombé, ou bien il a chaque fois déjà grandi en elles.

Se prendre en main ou négliger de le faire, ces manières d’exister, il appartient chaque fois au Dasein et à lui seul d’en décider. La question de l’existence ne se clarifie jamais qu’en en passant par l’exister lui-même. L’entente de soi-même qui en ce cas montre la voie, nous l’appelons l’entente existentielle. La question de l’existence est une «affaire» ontique pour le Dasein. Cela ne requiert pas pour autant que la structure ontologique de l’existence soit dégagée théoriquement en toute clarté. Si en revanche le but visé par la question est cette structure, ce sont les structures constituant l’existence à qu’il s’agit de dégager l’une après l’autre. L’ensemble que forment ces structures réunies, nous l’appelons l’existentialité. Son analytique a le caractère d’une entente non pas existentielle mais existentiale. Se fixer pour tâche une analytique existentiale du Dasein, voilà qui est, quant à sa possibilité et à sa nécessité, inscrit d’avance dans la constitution ontique du Dasein.

Or dans la mesure où l’existence détermine le Dasein, l’analytique ontologique de cet étant ne saurait commencer sans avoir chaque fois déjà en vue l’existentialité. Mais nous entendons celle-ci comme constituant l’être de l’étant qui existe. Or, dans l’idée d’une telle constitution d’être, il y a bien déjà l’idée d’être. Et pour pouvoir être menée à bien, l’analytique du Dasein dépend donc aussi de l’élaboration préalable de la question du sens de être en général. [ETFV:37]

Macquarrie

Dasein always understands itself in terms of its existence — in terms of a possibility of itself: to be itself or not   itself. Dasein has either chosen these possibilities itself, or got itself into them, or grown up in them already.

Only the particular Dasein decides its existence, whether it does so by taking hold or by neglecting. The question of existence never gets straightened out except through existing itself. The understanding of oneself which leads along this way we call “existentiell”. [2] The question of existence is one of Dasein’s ontical ‘affairs’. This does not require that the ontological structure of existence should be theoretically transparent. The question about that structure aims at the analysis [Auseinanderlegung] of what constitutes existence. The context [Zusammenhang  ] of such structures we call “existentiality”. Its analytic has the character of an understanding which is not existentiell, but rather existential. The task of an existential analytic of Dasein has been delineated in advance, as regards both its possibility and its necessity, in Dasein’s ontical constitution.

So far as existence is the determining character of Dasein, the ontological analytic of this entity always requires that existentiality be considered beforehand. By “existentiality” we understand the state of Being that is constitutive for those entities that exist. But in the idea of such a constitutive state of Being, the idea of Being is already included. And thus even the possibility of carrying through the analytic of Dasein depends on working out beforehand the question about the meaning of Being in general. [BTMR:33]

Original

Das Sein   selbst  , zu dem das Dasein sich so oder so verhalten   kann und immer irgendwie verhält, nennen wir Existenz  . Und weil die Wesensbestimmung   dieses Seienden   nicht   durch Angabe   eines sachhaltigen Was vollzogen werden   kann, sein Wesen   vielmehr darin liegt, daß   es je sein Sein als seiniges zu sein hat, ist der Titel Dasein als reiner Seinsausdruck zur Bezeichnung dieses Seienden gewählt. Das Dasein versteht sich selbst immer aus seiner Existenz, einer Möglichkeit   seiner selbst, es selbst oder nicht es selbst zu sein. Diese Möglichkeiten hat das Dasein entweder selbst gewählt oder es ist in sie hineingeraten oder je schon darin aufgewachsen. Die Existenz wird in der Weise   des Ergreifens oder Versäumens nur vom jeweiligen Dasein selbst entschieden. Die Frage   der Existenz ist immer nur durch das Existieren selbst ins Reine zu bringen  . Das hierbei führende Verständnis   seiner selbst nennen wir das existenzielle. Die Frage der Existenz ist eine ontische »Angelegenheit« des Daseins. Es bedarf hierzu nicht der theoretischen Durchsichtigkeit   der ontologischen Struktur   der Existenz. Die Frage nach dieser zielt auf   die Auseinanderlegung dessen, was Existenz konstituiert. Den Zusammenhang dieser Strukturen nennen wir die Existenzialität. Deren Analytik   hat den Charakter nicht eines existenziellen, sondern existenzialen Verstehens. Die Aufgabe einer existenzialen Analytik des Daseins ist hinsichtlich ihrer Möglichkeit und Notwendigkeit   in der ontischen Verfassung   des Daseins vorgezeichnet.

Sofern nun aber Existenz das Dasein bestimmt, bedarf die ontologische Analytik   dieses Seienden je schon immer einer vorgängigen Hinblicknahme auf Existenzialität. Diese verstehen wir aber als Seinsverfassung   des Seienden, das existiert. In der Idee   einer solchen Seinsverfassung liegt aber schon die Idee von Sein. Und so hängt auch die Möglichkeit einer Durchführung der Analytik des Daseins an der vorgängigen Ausarbeitung   der Frage nach dem Sinn   von Sein überhaupt  . [SZ:12-13]


Ver online : EXISTENZIALITÄT


[1a. Portanto, não filosofia da existência.

[2We shall translate ‘existenziell’ by ‘existentiell’, and ‘existenzial’ by ‘existential’. There seems to be little reason for resorting to the more elaborate neologisms proposed by other writers.