νοῦς  : «intelecto», «inteligencia». [NB  , pp. 37, 40-41, 44 (νοῦς, σοφία   [sophia], vida, movimiento); GA17  , pp. 209, 218; GA19  , pp. 58, 142, 157-160 (νοῦς en σοφία y Φρόνησις [phronesis  ]), 158 (≠ λόγος   [logos]), 163-165, 179-181 (λόγος y νοῦς), 181-189, 195-204, 367-369 (análisis de la estructura del νοεῖν [noein]); GA21  , pp. 52, 185, 410 (teología del νοῦς).] [LHDF]

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νοῦς, nous (mind, intuition), 427 [BTJS  ]

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En 1141 b 2 de l’Éthique à Nicomaque, Aristote   écrit : « Il est manifeste que la σοφία est aussi bien savoir [ἐπιστήμη   [episteme], entendons savoir d’un εἶδος   [eidos]] que rapport direct [νοῦς] à ce qui est le plus à honorer [τίμιώτατον (timiotaton)] par nature. »

Ce qui est le plus à honorer, c’est le divin – irréductible à tout savoir discursif.

Le νοῦς est un rapport direct, tel que l’on est face à face. Qu’est-ce qui est le plus à honorer en soi? Pour tout être humain, c’est le divin. La σοφία [sophia] est en rapport avec le divin. Mais le rapport ne peut se savoir (comment fixer les règles du sacrifice ?). Cela ne peut que s’inventer au fur et à mesure du νοῦς. Il y a invention et non codification dans le rapport au divin. [FHQ:61]

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