Si no hubiera de por medio εἶναι, ser del ente, en el sentido de la presencia y con ello de la objetividad de los inventarios objetivos, entonces no sólo no estarían en movimiento los motores del avión, sino que ni siquiera existirían. Si no estuviera presente el ser del ente como presencia de lo que se presenta, la energía atómica nunca podría haber hecho su aparición, ni colocar a su manera a los hombres en el trabajo, que por doquier está determinado técnicamente.
Así pues, más de una cosa depende de que oigamos o no lo que dice el título decisivo del pensamiento del Occidente europeo, la palabra ἐὸν.
Si l’εἶναι ne régnait, l’être de l’étant au sens de l’être pré-sent et par suite au sens de l’objectivité du stock d’objets – alors les moteurs d’avion non seulement ne tourneraient pas, mais même ne seraient tout simplement pas. Si l’Être de l’étant comme l’être pré-sent de l’étant pré-sent n’était pas manifeste, alors l’énergie électrique atomique n’aurait jamais pu voir le jour, ni engager à sa façon les hommes dans la forme pan-technique du travail.
Voici donc qui pourrait être de quelque conséquence : Ou bien nous écoutons ce que dit le mot qui forme le titre et qui donne la mesure de la pensée européo-occidentale, ce que dit ἐὸν, ou bien nous ne l’écoutons pas.
Waltete nicht εἶναι, Sein des Seienden, im Sinne des Anwesens und damit der Gegenständigkeit der gegenständlichen Bestände, dann würden die Flugzeugmotoren nicht nur nicht laufen, sie wären überhaupt nicht. Wäre das Sein des Seienden nicht als Anwesen des Anwesenden offenbar, dann hätte niemals die elektrische Atomenergie zum Vorschein kommen und auf ihre Weise den Menschen in die überall technisch bestimmte Arbeit einstellen können.
So mag denn wohl einiges daran liegen, ob wir hören, was das maßgebende Titelwort des abendländisch-europäischen Denkens, was ἐόν sagt, oder ob wir dieses nicht hören.