Ainsi les distinctions entre forme et matière, entre contenu et teneur, d’une part, figure et idée, d’autre part, forment-elles depuis lors l’armature de toute saisie de l’oeuvre d’art et si fatalité il y a, elle consiste précisément en ce que ces distinctions sont toujours correctes et toujours attestables à même l’oeuvre ; car celle-ci se laisse toujours aussi considérer comme une chose apprêtée présentant une “teneur spirituelle”. L’art devient ainsi la représentation de quelque chose de suprasensible dans un manière sensible soumise à une forme (Hw. 16-17). OOA1935: II