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Espace – Ampleur de la Dimension où s’effectue la Vie. Tao. Silence – Parole primordiale en quoi la Vie s’évoque elle-même par le moyen d’un vivant particulier, l’homme, qu’elle a cherché à produire pour y trouver le Chemin de son évocation. Heidegger dit : « Le mot directeur de la pensée de Lao-tseu est Tao,…

Analyse des conditions de possibilités de notre connaissance : en son fond, en son expérience a priori, elle est analyse de la connaissance que la Vie prend d’elle-même. Corps de la Panréalité (sensible, intelligible, X…) se réfléchit sur lui-même dans l’expérience modale de la réalité humaine. Miroir. Homme “être – humain”. Les termes ; le…

Une fois encore il faut rappeler que tout l’effort de méditation que nous poursuivons suppose un renoncement premier et décisif au “sujet”, au “moi”, au “je”, ce qui ne veut pas dire que nous ne le retrouverons pas après, mais autrement. Nous méditons “ce qui” rend possible la configuration d’un tel sujet. La méditation porte…

Ecoutons la procession de la Langue dans le déploiement affirmatif de soi de la Panréalité universelle, procession et affirmation où se met en oeuvre le Tacite. Corps de Shiva : corps oeuvré par la provenance fulgurante de la Vie universelle qui donne forme en le rythme encore muet de son alchimie anonyme. Corps de Shiva…

Cerner “ce qui” rend possible la connaissance humaine. Complicité kantienne. Niveau a priori. A priori : non pas “ce qui est indépendant de l’expérience” (définition subjective) mais expérience de la provenance productrice pure de la Vie universelle qui en vient à s’expérimenter, à se schématiser par l’homme en une conscience parlante de soi (comme Silence).…

A partir de la considération du caractère “amphoral” du corps humain, c’est-à-dire de l’unité foncière, énergétique, de son corps de “vivant” avec le “Vivant” qu’est l’univers en son intégrale vibration, nous avons montré combien les deux facultés motrices de ce vivant particulier qu’est l’homme, la sensibilité et l’entendement, avaient leur racine commune dans l’imagination, “capacité”…

Antes de qualquer ponto de referência geográfico, histórico, económico ou político, o ser humano retira a sua identidade da abertura fundamental que o define, deslocando o seu olhar para o seu mais alto tormento, “aquilo” a que julga poder chamar o “mesmo” Mundo. “O Mundo que transcende todos os ambientes, que transcende todas as determinações…

(…) o Mundo mostra que é, por definição, a e-vocação de uma atmosfera (Stimmung) que desde sempre concedeu realidade humana ao dizer silencioso que leva ao falar, ao ex-plicar, ao ex-plicitar. Escutemos o que “O que é a Metafísica?” (GA9) nos diz a este respeito: “Uma tal conformidade (Gestimmtsein), na qual ‘vivemos’ (“ist”) de um…

— Ele é iluminado (erleuchtet) a partir “daquilo que” (erleuchtet) o abre para si mesmo: isso significa que ele é iluminado em si mesmo no que diz respeito ao mundo, iluminado não por outra coisa, mas de tal forma que ele (es) é para si mesmo a luz”. (SZ:132) A natureza humana é, por definição,…

— A expressão “aí” (Da) designa essa abertura essencial. (SZ:132) Não mais a simples abertura subjetiva de um ser humano ao essencial; o simples produto de uma vontade que gostaria de ser “séria”, mas uma “abertura essencial”, uma abertura que sacode e estilhaça os próprios fundamentos pelos quais o “eu” assegura sua “consciência emperrada”. É…

— “A realidade humana é um vivente (ein Seindes) que não aparece simplesmente como um vivente entre outros. Pelo contrário, o homem (es) é notável em sua vida cotidiana (ontisch), pois ele está, por natureza, em jogo em sua própria natureza.” (SZ:12) O que angustia a natureza humana na maneira como ela vê o mundo…

Le Cri dit l’Ampleur de l’Accord de la Vie avec elle-même quand par l’homme elle fait retour d’elle-même sur elle-même en un Silence qui se révèle Douleur. Le Chant dit l’extension et l’expansion du Cri. Il le module en des variations qui rythment la Douleur universelle, la douleur de l’écart de la Vie d’avec elle-même…

On pourrait penser que l’écoute du Silence donnant le ton à la Dimension panréelle procure à l’homme cette sorte d’euphorie qu’a pu impliquer la conception simpliste d’un “retour à la nature”, ce qui n’a d’ailleurs que peu à voir avec l’âme tragique d’un Rousseau. Mais il n’en est rien. Eprouvant le Silence comme Parole primordiale…

Pour considérer l’esthétique en vérité, un premier souci devait être d’en purifier les interprétations annihilantes. — « J : Car votre chemin laisse derrière lui avec la métaphysique toute esthétique, puisque cette dernière y trouve son fondement. M : … Mais de telle sorte qu’à présent seulement nous sommes en état de méditer le déploiement…