Or la forme première sous laquelle nous rencontrons, chez Heidegger, le cercle en question (den Kreisgang vollziehen), c’est évidemment le cercle herméneutique. Est-il besoin de rappeler que « cercle herméneutique » est le nom chargé de dire la situation première, la condition sine qua non, mais aussi la ressource inépuisable de toute entente : à savoir que rien ne saurait jamais précéder une entente, si ce n’est une entente déjà à l’œuvre — que nous le sachions ou non ? (Fédier, FFEntendre:47)