être-pour-la-fin

Sein zum Ende [SZ]

De même que le Dasein, aussi longtemps qu’il est, est au contraire constamment déjà son ne-pas-encore, de même il est aussi déjà sa fin. Le finir désigné par la mort ne signifie pas un être-à-la-fin du Dasein, mais un être pour la fin de cet étant. La mort est une guise d’être que le Dasein assume dès qu’il est. « Dès qu’un homme vient à la vie, il est assez vieux pour mourir » [NA: Der Ackermann aus Böhmen [Le paysan de Bohème], éd. A. Berndt et K. Burdach, dans « Zum Mittelalter zur Reformation, Forschungen zur Geschichte der deutschen Bildung », édité par K. Burdach, t. III-2, 1917, chap. XX, p. 46.]. [EtreTemps48]