Existentialismus, Existenzphilosophie, existencialismo
Dans la Lettre, Heidegger rattache les mots finissant en – isme à une pensée qui, devenue étrangère à son aître, n’est plus qu’une fabrique de « philosophies » (et l’« existentialisme » est l’une de ces « philosophies »). Le suffixe – isme ne sert qu’à produire de simples « étiquettes » (GA, 9, 315) qui alimentent le marché des doctrines, opinions ou points de vue dont on est friand. De telles étiquettes, en effet, sont autant d’expressions de la domination de la subjectivité, de l’auto-imposition de l’homme, animal rationale, comme « centre de l’étant » (GA, 9, 353) – alors qu’il s’agirait de remonter enfin aux conditions de ce subjectivisme métaphysique, et, du même coup, d’en terminer avec l’instrumentalisation du langage dont témoigne également l’usage de ces – ismes. (Dominique Saatdjian, LDMH)
Sartre, ao contrário, assim exprime o princípio do existencialismo: A existência precede a essência. Ele toma, ao dizer isto, existentia e essentia no sentido da Metafísica que, desde Platão, diz: a essentia precede a existentia. Sartre inverte esta frase. Mas a inversão de uma frase metafísica permanece uma frase metafísica. Com esta frase, permanece ele com a Metafísica, no esquecimento da verdade do ser. (GA9PT)
VIDE: (Existentialismus->http://hyperlexikon.hyperlogos.info/modules/lexikon/search.php?option=1&term=Existentialismus)