Martineau
INTRODUCTION La « Critique de la raison pure » comme re-fondation de la métaphysique comme science
§ 1. Le concept traditionnel de la métaphysique
§ 2. Signification générale de la re-fondation d’une science
a) Interprétation phénoménologique de l’essence de la science
α) Le concept existential de science. Le connaître comme comportement dévoilant par rapport à l’étant; le dévoilement primaire dans l’usage practico-technique; la compréhension pré-scientifique de l’être de l’étant
β) L’objectivation comme principe du virage du comportement pré-scientifique au comportement scientifique et comme accomplissement exprès de la compréhension de l’être
γ) Le processus de l’objectivation dans la genèse de la physique mathématique moderne
b) Le rapport entre re-fondation d’une science et philosophie
α) La limite de l’auto-fondation de la science
β) La fondation d’une science est ontologie régionale. La fondation de la problématique ontologique dans la philosophie est ontologie fondamentale
§ 3. La re-fondation de la métaphysique comme science en tant que « Critique de la raison pure »
a) L’interprétation kantienne de la connaissance ontologique
α) La connaissance a priori
β) Les conditions de possibilité d’une science de l’étant en général
γ) Jugements analytiques et jugements synthétiques
δ) Le problème de la possibilité des jugements synthétiques a priori ou d’une compréhension ontologique de l’être
b) La différence entre la philosophie transcendantale ou métaphysique et la re-fondation de la métaphysique comme « Critique de la raison pure »
α) L’ontologie comme système; la « Critique » comme refondation du système de la philosophie transcendantale
β) La re-fondation de la métaphysique comme « Critique de la raison pure »; sa situation dans le tout de la métaphysique
§ 4. L’horizon de questionnement, le champ de recherches et la structure de la « Critique de la raison pure »
PREMIÈRE PARTIE L’ESTHÉTIQUE TRANSCENDANTALE
CHAPITRE PREMIER. La fonction de l’intuition dans la connaissance synthétique a priori
§ 5. L’intuition comme caractère essentiel primaire de la connaissance en général
a) Le caractère d’intuition du connaître en général
b) La signification de l’intuition; intuitionner infini et intuitionner fini; intuitionner fini et sensibilité; affection et réceptivité
c) Sensibilité et entendement envisagés comme les deux « souches » de la connaissance humaine; origine commune de ces deux souches
d) La connaissance synthétique a priori et l’exigence d’une intuition pure a priori
§ 6. La mise en lumière de l’intuition pure a priori
a) Intuition empirique et sensation
b) Le phénomène comme objet d’une intuition empirique et sa distinction d’avec la chose en soi
c) Data de sensation et rapports spatiaux et temporels: leur conjonction dans l’intuition empirique
d) Espace et temps comme formes pures de l’intuition; le type de recherche à laquelle les soumet l’Esthétique transcendantale
CHAPITRE II. Interprétation phénoménologique de l’Esthétique transcendantale
§ 7. Élucidation de l’exposition métaphysique de l’espace et du temps
§ 8. Analyse phénoménologique de l’espace et du temps comme formes pures de l’intuition
§ 9. La différence entre forme de l’intuition et intuition formelle
§ 10. L’exposition transcendantale de l’espace et du temps
a) Espace et temps comme conditions de possibilité de connaissances synthétiques a priori
b) Les phénomènes du mouvement et du changement
§ 11. La primauté du temps comme forme de l’intuition par rapport à l’espace
a) Le temps comme forme universelle des phénomènes
b) La subjectivité originaire du temps réinterprétée comme auto-affection
§ 12. Caractérisation résumée de l’espace et du temps; leur « réalité empirique » et leur « idéalité transcendantale »
DEUXIÈME PARTIE L’« ANALYTIQUE DES CONCEPTS » DANS LA LOGIQUE TRANSCENDANTALE
PREMIÈRE SECTION EXPOSITION DE L’IDÉE d’üNE LOGIQUE ET D’UNE ANALYTIQUE TRANSCENDANTALES
CHAPITRE PREMIER. La signification de la Logique transcendantale
§ 13. L’analyse de l’élément de pensée de la connaissance et l’unité de la pensée et de l’intuition sont les deux thèmes de la Logique transcendantale
§ 14. La détermination kantienne de la pensée
§15. La détermination de la logique générale et de la Logique transcendantale
a) La détermination de la logique générale et pure par opposition à la logique appliquée
b) La détermination de la Logique transcendantale comme logique rapportée à l’objet
§16. La division de la logique générale et de la Logique transcendantale en Analytique et en Dialectique
a) Rectitude formelle et vérité réale d’une connaissance
b) La logique générale comme analytique et dialectique
c) La vérité ontologique; la Logique transcendantale comme Analytique et Dialectique transcendantales
CHAPITRE II. La signification de l’Analytique transcendantale
§ 17. Préparation méthodico-critique de l’interprétation de l’Analytique transcendantale
a) La philosophie transcendantale comme ontologie de l’étant sous-la-main en général
α) La détermination de la logique générale et de la Logique transcendantale comme science de la pensée par rapport à tous les objets en général
β) Le concept d’objet en général; la fondation de la logique formelle dans l’ontologie formelle
b) L’unité systématique des déterminations d’être du sous-la-main en général et la complétude de la table des catégories
c) La division de l’Analytique transcendantale
α) La division de l’Analytique transcendantale en « Analytique des concepts » et « Analytique des principes »; son caractère inadéquat
β) Mise en lumière préparatoire de la problématique de la déduction métaphysique et de la « Déduction transcendantale des concepts purs de l’entendement »
§ 18. Exposition de l’essence de l’« Analytique transcendantale des concepts »
a) La signification d’« Analytique » et d’« Analytique transcendantale »
b) Analyse de l’essence du concept
α) La logique générale pure comme base de l’exposition du concept; exposition des points de vue de recherche
β) Le concept comme représentation universelle
γ) Le concept comme représentation réfléchissante; l’essence de la réflexion et des actes qui lui appartiennent
δ) La représentation réfléchissante comme représentation discursive
ε) La fondation du concept dans la fonction de l’unité, la réflexion
§ 19. Tâche et démarche de l’« Analytique transcendantale des concepts »
a) L’orientation du questionnement de l’« Analytique transcendantale des concepts »
b) La pensée rapportée a priori à l’objet en tant que lieu possible d’origine des catégories
c) Les catégories comme concepts de la réflexion; la connexion entre les formes du jugement comme modes de l’union et les catégories comme modes de l’unité
d) La relation nécessaire des catégories au temps
DEUXIÈME SECTION INTERPRÉTATION PHÉNOMÉNOLOGIQUE DE L’« ANALYTIQUE TRANSCENDANTALE DES CONCEPTS »
CHAPITRE PREMIER. Le lieu d’origine des catégories et leur connexion avec les jugements comme fonction d’union
§ 20. La table kantienne des formes de jugements
§ 21. La synthèse qui est au fondement des catégories
a) « Synthèse » comme désignation de trois formes d’union
b) La connexion entre pensée pure en général, pensée pure rapportée à l’objet et intuition pure; la synthèse comme compréhension pré-conceptuelle du divers
c) Délimitation de la synthèse compréhensive par rapport à la fonction intellectuelle d’union
d) L’imagination comme source de la connaissance compréhensive
e) La synthèse imaginative pure rapportée au temps comme source des concepts purs de l’entendement
f) Formation ontique et ontologique du concept; les trois éléments de la connaissance ontologique
g) L’unité de la synthèse imaginative et l’unité de la fonction logique du jugement
§ 22. Le double caractère des catégories comme déterminations fondamentales de l’être et du jugement et l’impossibilité d’une définition réale (real) des catégories comme concepts purs de l’entendement
CHAPITRE II. Le dévoilement de l’origine des catégories comme mise en lumière de leur caractère ontologique
§ 23. La problématique de la « Déduction transcendantale des catégories »
a) La justification de la conception kantienne de la « Déduction transcendantale » comme réponse à la quaestio juris
α) La prétention à la connaissance élevée par la métaphysique dogmatique comme occasion de la quaestio juris
β) Le problème de la légitimité de la réalité objective des concepts purs de l’entendement
γ) Le caractère subjectif de l’a priori comme présupposition de la quaestio juris; le caractère de transcendance du Dasein
b) La « Déduction transcendantale » considérée dans sa connexion avec le problème de la transcendance
α) Les raisons de la méconnaissance kantienne de la transcendance
β) La transcendance comme constitution apriorique de l’objectivité
γ) La caractérisation des concepts rapportés à l’objet dans la Critique de la faculté de juger
§ 24. La mise au jour de la constitution de la relation à l’objet sur la base de la temporalité comme constitution du sujet; « Des principes a priori de la possibilité de l’expérience »
a) Clarification de la tâche et orientation de la recherche
α) La signification d’« expérience » et de « possibilité de l’expérience »
β) La question des fondements a priori de la possibilité de l’expérience comme question de la constitution transcendantale du sujet
γ) La fonction centrale de la synthèse de l’imagination dans la possibilisation de l’expérience
δ) Les synthèses de l’appréhension, de la reproduction et de la récognition comme modes de la synthèse pure de l’imagination; caractérisation provisoire de l’idée d’« objet en général »
b) La possibilisation de l’intuition d’un divers par la synthèse rapportée au temps de l’imagination sur le mode de l’appréhension
c) La possibilisation de la saisie d’une région objective par la synthèse imaginative rapportée au temps sur le mode de la reproduction
d) La possibilisation de la saisie de l’unité d’une région objective par la synthèse imaginative rapportée au temps sur le mode de la récognition
α) Le problème de la coappartenance des trois synthèses de l’appréhension, de la reproduction et de la récognition
β) Interprétation de la synthèse de la récognition comme synthèse de la précognition
e) L’objectivité en général comme libre auto-liaison du sujet à des règles aprioriques de la connaissance
f) L’exposition de la possibilité de la relation objective comme explication de la subjectivité; l’aperception transcendantale et l’entendement comme pouvoir des règles
g) Résumé de l’interprétation de la section « Des principes a priori de la possibilité de l’expérience »
§ 25. Caractérisation générale de la subjectivité transcendantale comme dimension d’origine de la connaissance synthétique a priori
a) Les trois modes de la synthèse transcendantale et leur coappartenance
b) L’unité des synthèses transcendantales et l’aperception transcendantale comme fondement de cette unité
c) La relation au temps des trois synthèses et leur appartenance au Soi sur la base de la relation au temps
d) L’aperception transcendantale et son rapport au temps
e) Le temps comme auto-affection, l’aperception transcendantale comme autonomie et l’unité de la subjectivité
f) La subjectivité transcendantale et l’essence ontologique des catégories
§ 26. L’exposition de la possibilité d’une connaissance ontologique
a) La présentation systématique par Kant de la « Déduction transcendantale des catégories »; « Du rapport de l’entendement à des objets en général et de la possibilité de connaître ceux-ci a priori »
α) La dissociation par Kant de deux pouvoirs de connaissance comme condition de son mode de présentation de la « Déduction transcendantale »; nécessité de la fonction médiatrice de l’imagination
β) L’unité originairement synthétique de l’aperception dans son rapport à la synthèse productrice de l’imagination
γ) Caractérisation de la synthèse productrice de l’imagination comme rapportée au temps, comme suite de la réceptivité et de la spontanéité et comme constitution ekstatique fondamentale du sujet
δ) La monstration de la connexion apriorique entre aperception transcendantale et intuition pure comme exposition de la réalité objective, c’est-à-dire de l’essence ontologique des catégories
b) La possibilité de jugements synthétiques a priori et la possibilité de la connaissance ontologique
c) La signification de la doctrine kantienne du schématisme
Emad & Maly PRELIMINARY CONSIDERATION INTRODUCTION The Critique of Pure Reason as Laying the Foundation for Metaphysics as Science
§ 1. The Traditional Concept of Metaphysics
§ 2. General Meaning of Laying the Foundation of a Science
a) Phenomenological Interpretation of Science’s Way of Being
α) The Existential Concept of Science. Knowledge as a Revealing Comportment to Beings, the Primary Revealing in the Practical-Technical Realm, and the Prescientific Understanding of the Being of Beings
β) Conversion of the Prescientific Comportment to the Scientific Comportment by the Basic Act of Objectification. Objectification as the Explicit Accomplishment of Understanding of Being
γ) The Process of Objectification in the Genesis of the Modem Mathematical Sciences of Nature
b) The Relation between the Founding of Science and Philosophy
α) The Limit of Science’s Self-Founding
β) Founding of Science as Regional Ontology. Founding of Ontological Inquiry in Philosophy as Fundamental Ontology
§ 3. Laying the Foundation of Metaphysics as Science as the Critique of Pure Reason
a) Kant’s Interpretation of Ontological Knowledge
α) Knowledge a priori
β) The Condition for the Possibility of a Science of Beings in General
γ) Analytic and Synthetic Judgments
5) The Problem of the Possibility of Synthetic Judgments a priori or the Problem of an Ontological Understanding of Being
b) The Difference between Transcendental Philosophy or Metaphysics and Laying the Foundation of Metaphysics as the Critique of Pure Reason
α) Ontology as System. The Critique as Laying the Foundation of the System of Transcendental Philosophy
β) Laying the Foundation for Metaphysics as Critique of Pure Reason; Its Place in the Whole of Metaphysics
§ 4. The Horizon of Inquiry, the Field of Investigation, and the Structural Plan of the Critique of Pure Reason
FIRST PART THE TRANSCENDENTAL AESTHETIC
CHAPTER ONE The Function of Intuition in Synthetic Knowledge
§ 5. Intuition as the Primary and Essential Character of Knowledge in General
a) The Intuitive Character of Knowledge in General 56
b) The Significance of Intuition. Infinite and Finite Intuition. Finite Intuition and Sensibility, Affection, and Receptivity
c) Sensibility and Understanding as the Two Roots of Human Knowledge; the Common Origins of Both Roots
d) Synthetic Knowledge a priori and the Necessity of Pure a priori Intuition
§ 6. Demonstration of Pure Intuition a priori
a) Empirical Intuition and Empirical Sensation
b) Appearance as Object of Empirical Intuition Distinguished from the Thing Itself
c) The Togetherness of Sense-Data and Space-Time Relations in Empirical Intuition
d) Space and Time as Pure Forms of Intuition and the Manner of Their Investigation in the Transcendental Aesthetic
CHAPTER TWO Phenomenological Interpretation of the Transcendental Aesthetic
§ 7. Discussion of the Metaphysical Exposition of Space and Time
§ 8. Phenomenological Analysis of Space and Time as Pure Forms of Intuition
§ 9. The Difference between “Form of Intuition” and “Formal Intuition”
§10. Transcendental Exposition of Space and Time
a) Space and Time as Conditions for the Possibility of Synthetic Knowledge a priori
b) The Phenomena of Motion and Change
§11. The Priority of Time over Space as Form of Intuition
a) Time as Universal Form of Appearances
b) The Original Subjectivity of Time in Its Expression as Self-Affection
§12. Summary Characterization of Space and Time, Their “Empirical Reality” and “Transcendental Ideality”
SECOND PART THE ANALYTIC OF CONCEPTS IN THE TRANSCENDENTAL LOGIC
FIRST DIVISION Exposition of the Idea of a Transcendental Logic and Analytic
CHAPTER ONE The Significance of Transcendental Logic
§13. The Analysis of Thinking as Element of Knowledge and the Unity of Thinking and Intuition as the Two Themes of Transcendental Logic
§14. Kant’s Determination of Thinking
§15. Determination of General and Transcendental Logic
a) Determination of General and Pure Logic as Distinguished from Applied Logic
b) Determination of Transcendental Logic as Object-Related
§16. Division of General and Transcendental Logic into the Analytic and the Dialectic
a) Formal Corrections and Factual Truth of Knowledge
b) General Logic as Analytic and Dialectic
c) Ontological Truth; Transcendental Logic as Transcendental Analytic and Dialectic
CHAPTER TWO The Significance of the Transcendental Analytic
§17. Methodic and Critical Preparation for Interpreting the Transcendental Analytic
a) Transcendental Philosophy as Ontology of the Extant in General
α) Determination of General and Transcendental Logic as Science of Thinking with Respect to Objects in General
β) The Concept of Object in General; Foundation of Formal Logic in Formal Ontology
b) The Systematic Unity of the Ontological Determinations of the Extant in General and the Completeness of the Table of Categories
c) Division of the Transcendental Analytic
α) What Is Incorrect in the Division of Transcendental Analytic into an Analytic of Concepts and an Analytic of Principles
β) Preparatory Demonstration of the Problematic of the Metaphysical and the Transcendental Deduction of Pure Concepts of Understanding
§18. Exposition of the Essence of the Transcendental Analytic of Concepts
a) The Meaning of “Analytic” and of “Transcendental Analytic”
b) Analysis of the Essence of the Concept
α) General Pure Logic as the Basis for Exposition of the Concept; Presentation of Directives for the Investigation
β) Concept as General Representation
γ) The Concept as Reflective Representing; the Essence of Reflection and the Acts Belonging to It
δ) Reflective Representation as Repraesentatio Discursiva
ε) Foundation of the Concept in the Function of Unity, in Reflection
§19. The Task and Way of Proceeding in the Transcendental Analytic of Concepts
a) The Direction of the Inquiry in the Transcendental Analytic of Concepts
b) The a priori Object-Related Thinking as Possible Place of Origin for the Categories
c) Categories as Concepts of Reflection; the Connection between Forms of Judgment as Modes of Unification and Categories as Modes of Unity
d) The Necessary Relatedness of Categories to Time
SECOND DIVISION Phenomenological Interpretation of the Transcendental Analytic of Concepts
CHAPTER ONE The Place of Origin of Categories and Their Connection with Judgments as Functions of Unification
§20. The Kantian Table of the Forms of Judgment
§21. The Synthesis Underlying the Categories
a) “Synthesis” as Designation for Three Forms of Unification
b) The Connection of Pure Thinking in General, of Pure Object-Related Thinking, and of Pure Intuition; Synthesis as a Pre-Concep-tual Gathering of the Manifold
c) Distinguishing Synthesis as Gathering [of a Manifold] from the Unifying Function of Understanding
d) The Power of Imagination as the Source of the Comprehensive Synthesis
e) The Pure, Imaginative, Time-Related Synthesis as Source of Pure Concepts of Understanding
f) Ontic and Ontological Concept-Formation; the Three Elements of Ontological Knowledge
g) The Unity of Imaginative Synthesis and the Unity of the Logical Function of Judgment
§22. The Twofold Character of Categories as Basic Determinations of Being and of Judgment and the Impossibility of a Real Definition of Categories as Pure Concepts of Understanding
§23. The Problem Posed by the Transcendental Deduction of Categories
a) Justification of Kant’s View of the Transcendental Deduction as a Response to the Quaestio Juris
α) The Knowledge-Claim of Dogmatic Metaphysics as Motive for the Quaestio Juris
β) The Problem of Legitimacy of the Ob-jective Reality of Pure Concepts of Understanding
γ) The Subjective Character of the a priori as Condition for the Quaestio Juris; the Transcendence-Structure of Dasein
b) Transcendental Deduction in Connection with the Problem of Transcendence
α) The Justification for Kant’s Misconstruing Transcendence
β) Transcendence as a priori Constitution of Objectness
γ) Characterization of Object-Related Concepts in the Critique of the Faculty of Judgment
§ 24. Elucidation of the Structure of Object-Relatedness on the Basis of Temporality as the Constitution of the Subject — “The a priori Grounds of the Possibility of Experience”
a) Clarification of the Task and Orientation of This Inquiry
α) The Meaning of the Expressions “Experience’” and “Possibility of Experience”
β) The Inquiry into the a priori Grounds of the Possibility of Experience as Inquiry into the Transcendental Constitution of the Subject
γ) The Crucial Function of the Synthesis of the Power of Imagination in the Enabling of Experience
δ) Synthesis of Apprehension, Reproduction, and Recognition as Modes of the Pure Synthesis of the Power of Imagination. Preliminary Characterization of the Idea of “Object in General”
b) Enabling of the Intuition of a Manifold through Time-Related Synthesis of the Power of Imagination in the Mode of Apprehension
c) Enabling the Grasping of a Region of Objects through Time-Related Synthesis of the Power of Imagination in the Mode of Reproduction
d) Enabling the Grasping of the Unity of a Region of Objects through the Time-Related Synthesis of the Power of Imagination in the Mode of Recognition
α) The Problem of the Interrelationship of the Three Syntheses of Apprehension, Reproduction, and Recognition
β) Interpretation of the Synthesis of Recognition as Synthesis of Pre-cognition
e) Objectness in General as the Subject’s Free Self-Binding to a priori Rules of Knowledge
f) Presentation of the Possibility of Object-Relatedness as Explication of Subjectivity; Transcendental Apperception and Understanding as the Faculty of Rules
g) Summary of the Interpretation of the Section “The a priori Grounds of the Possibility of Experience”
§25. General Character of Transcendental Subjectivity as the Original Dimension of Synthetic a priori Knowledge
a) The Three Modes of the Transcendental Synthesis and Their Interconnection
b) The Unity of the Transcendental Synthesis and the Transcendental Apperception as the Ground of Their Unity
c) The Relationship of the Three Syntheses to Time and Their Connection to the Self on the Basis of the Relation to Time
d) Transcendental Apperception and Its Relationship to Time
e) Time as Self-Affection, Transcendental Apperception as SelfStanding, and the Unity of Subjectivity
f) Transcendental Subjectivity and the Ontological Essence of Categories
§26. Presentation of the Possibility of Ontological Knowledge
a) Kant’s Systematic Presentation of the Transcendental Deduction of Categories — “The Relation of the Understanding to Objects in General and the Possibility of Knowing Them a priori”
α) Kant’s Point of Departure from Separate Faculties of Knowledge as Condition of His Manner of Presentation of the Transcendental Deduction and the Necessity for the Mediating Function of the Power of Imagination
β) The Original Synthetic Unity of Apperception in Relation to the Productive Synthesis of the Power of Imagination
y) Characterization of the Productive Synthesis of the Power of Imagination as Related to Time, as Unity of Receptivity and Spontaneity, and as the Basic Constitution of the Subject as Ecstatic
δ) Demonstration of the a priori Interconnection between Transcendental Apperception and Pure Intuition as Presentation of the Ob-jective Reality and Ontological Essence of Categories
b) The Possibility of Synthetic Judgments a priori and the Possibility of Ontological Knowledge
c) The Significance of Kant’s Doctrine of Schematism
Original VORBETRACHTUNG
EINLEITUNG Die »Kritik der reinen Vernunft« als Grundlegung der Metaphysik ah Wissenschaft
§ 1. Der traditionelle Begriff der Metaphysik
§ 2. Allgemeine Bedeutung der Grundlegung einer Wissenschaft
a) Phänomenologische Interpretation des Wesens der Wissenschaft
α) Der existenziale Begriff der Wissenschaft. Das Erkennen als enthüllendes Verhalten zum Seienden, die primäre Enthüllung im praktisch-technischen Umgang, das vorwissenschaftliche Verstehen des Seins des Seienden
β) Die Umstellung des vorwissenschaftlichen Verhaltens zum wissenschaftlichen durch den Grundakt der Vergegenständlichung. Vergegenständlichung als ausdrücklicher Vollzug des Seinsverständnisses
γ) Der Prozeß der Vergegenständlichung in der Genesis der neuzeitlichen mathematischen Naturwissenschaft
b) Der Bezug von Wissenschaftsbegründung und Philosophie
α) Die Grenze der Selbstbegründung der Wissenschaft
β) Wissenschaftsbegründung als regionale Ontologie. Begründung der ontologischen Fragestellung in der Philosophie als Fundamentalontologie
§ 3. Die Grundlegung der Metaphysik als Wissenschaft als »Kritik der reinen Vernunft«
a) Die Kantische Interpretation ontologischer Erkenntnis
α) Erkenntnis a priori
β) Die Bedingungen der Möglichkeit einer Wissenschaft vom Seienden überhaupt
y) Analytische und synthetische Urteile
δ) Das Problem der Möglichkeit synthetischer Urteile a priori oder eines ontologischen Seinsverständnisses
b) Der Unterschied von Transzendentalphilosophie oder Metaphysik und Grundlegung der Metaphysik als »Kritik der reinen Vernunft«
α) Ontologie als System. Die »Kritik« als Grundlegung des Systems der Transzendentalphilosophie
β) Die Grundlegung der Metaphysik als Kritik der reinen Vernunft, ihre Stellung im Ganzen der Metaphysik
§ 4. Der Fragehorizont, das Untersuchungsfeld und der Bauplan der »Kritik der reinen Vernunft«
ERSTER TEIL DIE TRANSZENDENTALE ÄSTHETIK
ERSTES KAPITEL Die Funktion der Anschauung in der synthetischen Erkenntnis a priori
§ 5. Die Anschauung als der primäre Wesenscharakter der Erkenntnis überhaupt
a) Der Anschauungscharakter des Erkennens überhaupt
b) Die Bedeutung der Anschauung. Unendliches und endliches Anschauen. Endliches Anschauen und Sinnlichkeit, Affektion und Rezeptivität
c) Sinnlichkeit und Verstand als die beiden Stämme der menschlichen Erkenntnis; der gemeinschaftliche Ursprung beider Stämme
d) Die synthetische Erkenntnis a priori und das Erfordernis reiner Anschauung a priori
§ 6. Der Aufweis reiner Anschauung a priori
a) Empirische Anschauung und Empfindung
b) Die Erscheinung als der Gegenstand empirischer Anschauung im Unterschied zum Ding an sich
c) Das Zusammen von Empfindungsdaten und Raum- und Zeitverhältnissen in der empirischen Anschauung
d) Raum und Zeit als reine Formen der Anschauung und ihre Untersuchungsart in der transzendentalen Ästhetik
ZWEITES KAPITEL Phänomenologische Interpretation der transzendentalen Ästhetik
§ 7. Die Erläuterung der metaphysischen Exposition von Raum und Zeit
§ 8. Phänomenologische Analyse von Raum und Zeit als reinen Formen der Anschauung
§ 9. Der Unterschied zwischen Form der Anschauung und formaler Anschauung
§ 10. Die transzendentale Erörterung von Raum und Zeit
a) Raum und Zeit als Bedingungen der Möglichkeit synthetischer Erkenntnisse a priori
b) Die Phänomene der Bewegung und Veränderung
§ 11. Der Vorrang der Zeit als Form der Anschauung gegenüber dem Raum
a) Die Zeit als universale Form der Erscheinungen
b) Die ursprüngliche Subjektivität der Zeit in ihrer Ausprägung als Selbstaffektion
§ 12. Zusammenfassende Charakteristik von Raum und Zeit, ihre »empirische Realität« und »transzendentale Idealität«
ZWEITER TEIL DIE ANALYTIK DER BEGRIFFE IN DER TRANSZENDENTALEN LOGIK
ERSTES HAUPTSTÜCK Exposition der Idee einer transzendentalen Logik und Analytik
ERSTES KAPITEL Die Bedeutung der transzendentalen Logik
§ 13. Die Analyse des Denkelements der Erkenntnis und die Einheit von Denken und Anschauung als die beiden Themen der transzendentalen Logik
§ 14. Kants Bestimmung des Denkens
§ 15. Die Bestimmung der allgemeinen und der transzendentalen Logik
a) Die Bestimmung der allgemeinen und reinen Logik im Unterschied zur angewandten Logik
b) Die Bestimmung der gegenstandsbezogenen transzendentalen Logik
§ 16. Die Einteilung der allgemeinen und der transzendentalen Logik in Analytik und Dialektik
a) Formale Richtigkeit und sachhaltige Wahrheit einer Erkenntnis
b) Die allgemeine Logik als Analytik und Dialektik
c) Die ontologische Wahrheit; die transzendentale Logik als transzendentale Analytik und Dialektik
ZWEITES KAPITEL Die Bedeutung der transzendentalen Analytik
§ 17. Methodisch-kritische Vorbereitung der Interpretation der transzendentalen Analytik
a) Die Transzendentalphilosophie als Ontologie des Vorhandenen überhaupt
α) Die Bestimmung der allgemeinen und der transzendentalen Logik als Wissenschaft vom Denken in Ansehung aller Gegenstände überhaupt
β) Der Begriff des Gegenstandes überhaupt. Die Fundierung der formalen Logik in der formalen Ontologie
b) Die systematische Einheit der Seinsbestimmungen des Vorhandenen überhaupt und die Vollständigkeit der Kategorientafel
c) Die Gliederung der transzendentalen Analytik
α) Das Unzutreffende der Gliederung der transzendentalen Analytik in Analytik der Begriffe und der Grundsätze
β) Vorbereitender Aufweis der Problematik der metaphysischen und der transzendentalen Deduktion der reinen Verstandesbegriffe
§ 18. Exposition des Wesens der transzendentalen Analytik der Begriffe
a) Die Bedeutung von »Analytik« und transzendentaler Analytik
b) Analyse des Wesens des Begriffes
α) Die allgemeine reine Logik als Grundlage der Exposition des Begriffs; Darlegung der Untersuchungshinsichten
β) Der Begriff als allgemeine Vorstellung
y) Der Begriff als reflektierendes Vorstellen; das Wesen der Reflexion und der ihr zugehörigen Akte
δ) Die reflektierende Vorstellung als repraesentatio discursiva
ε) Die Begründung des Begriffs in der Funktion der Einheit, der Reflexion
§ 19. Aufgabe und Vorgehen der transzendentalen Analytik der Begriffe
a) Die Fragerichtung der transzendentalen Analytik der Begriffe
b) Das a priori gegenstandsbezogene Denken als möglicher Ursprungsort der Kategorien
c) Die Kategorien als Reflexionsbegriffe; der Zusammenhang zwischen den Urteilsformen als Modi der Einigung und den Kategorien als Modi der Einheit
d) Das notwendige Bezogensein der Kategorien auf die Zeit
ZWEITES HAUPTSTÜCK PHÄNOMENOLOGISCHE INTERPRETATION DER TRANSZENDENTALEN ANALYTIK DER BEGRIFFE
ERSTES KAPITEL Der Ursprungsort der Kategorien und ihr Zusammenhang mit den Urteilen als Funktionen der Einigung
§ 20. Die Kantische Tafel der Urteilsformen
§ 21. Die den Kategorien zugrundeliegende Synthesis
a) »Synthesis« als Bezeichnung dreier Formen der Einigung
b) Der Zusammenhang von reinem Denken überhaupt, gegenstandsbezogenem reinen Denken und reiner Anschauung; Synthesis als vorbegriffliches Zusammennehmen des Mannigfaltigen
c) Abgrenzung der zusammennehmenden Synthesis von der Verstandesfunktion der Einigung
d) Die Einbildungskraft als Quelle der zusammenfassenden Synthesis
e) Die reine imaginative zeitbezogene Synthesis als Quelle der reinen Verstandesbegriffe
f) Ontische und ontologische Begriffsbildung; die drei Elemente der ontologischen Erkenntnis
g) Die Einheit der imaginativen Synthesis und die Einheit der logischen Urteilsfunktion
§ 22. Der Doppelcharakter der Kategorien als Grundbestimmungen des Seins und des Urteils und die Unmöglichkeit einer Realdefinition der Kategorien als reiner Verstandesbegriffe
ZWEITES KAPITEL Die Ursprungsenthüllung der Kategorien als Aufweis ihres ontologischen Charakters
§ 23. Die Problemstellung der transzendentalen Deduktion der Kategorien
a) Die Begründung der Kantischen Fassung der transzendentalen Deduktion als Beantwortung der quaestio iuris
α) Der Erkenntnisanspruch der dogmatischen Metaphysik als Anlaß für die quaestio iuris
β) Das Problem der Rechtmäßigkeit der objektiven Realität reiner Verstandesbegriffe
γ) Der subjektive Charakter des a priori als Voraussetzung für die quaestio iuris; die Transzendenz-Struktur des Daseins
b) Die transzendentale Deduktion im Zusammenhang mit dem Problem der Transzendenz
α) Die Begründung der Kantischen Verkennung der Transzendenz
β) Die Transzendenz als apriorische Konstituierung der Gegenständlichkeit
y) Die Charakteristik gegenstandsbezogener Begriffe in der »Kritik der Urteilskraft«
§ 24. Die Aufhellung der Konstitution der Gegenstandsbeziehung auf dem Grunde der Zeitlichkeit als Verfassung des Subjekts — »Von den Gründen a priori zur Möglichkeit der Erfahrung«
a) Klärung der Aufgabe und Ausrichtung der Untersuchung
α) Die Bedeutung von »Erfahrung« und »Möglichkeit der Erfahrung«
β) Die Frage nach den Gründen a priori zur Möglichkeit der Erfahrung als die Frage nach der transzendentalen Beschaffenheit des Subjekts
γ) Die zentrale Funktion der Synthesis der Einbildungskraft in der Ermöglichung der Erfahrung
δ) Die Synthesen der Apprehension, Reproduktion und Recognition als Modi der reinen Synthesis der Einbildungskraft. Vorläufige Charakteristik der Idee »Gegenstand überhaupt
b) Die Ermöglichung der Anschauung eines Mannigfaltigen durch die zeitbezogene Synthesis der Einbildungskraft im Modus der Apprehension
c) Die Ermöglichung der Erfassung einer Gegenstandsregion durch die zeitbezogene Synthesis der Einbildungskraft im Modus der Reproduktion
d) Die Ermöglichung der Erfassung der Einheit einer Gegenstandsregion durch die zeitbezogene Synthesis der Einbildungskraft im Modus der Recognition
α) Das Problem der Zusammengehörigkeit der drei Synthesen der Apprehension, Reproduktion und Recognition
β) Interpretation der Synthesis der Recognition als Synthesis der Praecognition
e) Gegenständlichkeit überhaupt als das freie Sich-Binden des Subjekts an apriorische Regeln der Erkenntnis
f) Die Darlegung der Möglichkeit der Gegenstandsbeziehung als Explikation der Subjektivität; die transzendentale Apperzeption und der Verstand als das Vermögen der Regeln
g) Zusammenfassung der Interpretation des Abschnittes »Von den Gründen a priori zur Möglichkeit der Erfahrung«
§ 25. Allgemeine Charakteristik der transzendentalen Subjektivität als Ursprungsdimension der synthetischen Erkenntnis a priori
a) Die drei Modi der transzendentalen Synthesis und ihre Zusammengehörigkeit
b) Die Einheit der transzendentalen Synthesen und die transzendentale Apperzeption als ihr Einheitsgrund
c) Die Zeitbezogenheit der drei Synthesen und ihre Zugehörigkeit zum Selbst aufgrund der Zeitbeziehung
d) Die transzendentale Apperzeption und ihr Verhältnis zur Zeit
e) Die Zeit als Selbstaffektion, die transzendentale Apperzeption als Selbständigkeit und die Einheit der Subjektivität
f) Die transzendentale Subjektivität und das ontologische Wesen der Kategorien
§ 26. Die Darlegung der Möglichkeit ontologischer Erkenntnis
a) Kants systematische Darstellung der transzendentalen Deduktion der Kategorien — »Von dem Verhältnisse des Verstandes zu Gegenständen überhaupt und der Möglichkeit diese a priori zu erkennen«
α) Kants Ansatz getrennter Erkenntnisvermögen als Bedingung seiner Darstellungsart der transzendentalen Deduktion; die Notwendigkeit der vermittelnden Funktion der Einbildungskraft
β) Die ursprünglich synthetische Einheit der Apperzeption im Bezug zur produktiven Synthesis der Einbildungskraft
y) Charakterisierung der produktiven Synthesis der Einbildungskraft als zeitbezogen, als Einheit von Rezeptivität und Spontaneität und als ekstatische Grundverfassung des Subjekts
δ) Der Nachweis des apriorischen Zusammenhangs zwischen transzendentaler Apperzeption und reiner Anschauung als Darlegung der objektiven Realität, des ontologischen Wesens der Kategorien
b) Die Möglichkeit synthetischer Urteile a priori, die Möglichkeit ontologischer Erkenntnis
c) Die Bedeutung der kantischen Lehre vom Schematismus